Conduite de véhicule et consommation de cannabis ou autres stupéfiants

Conduite de véhicule et consommation de cannabis ou autres stupéfiants

La conduite sous l’emprise  de l’alcool et des stupéfiants augmente le risque d’accidents de la route. Même le cannabis bien que considéré comme une drogue douce (puisqu’il n’existe pas de récepteurs au niveau des organes vitaux), provoque à court terme des troubles de l’attention, augmente les temps de réaction, altère les performances lors de la réalisation d’une tâche complexe telle que la conduite. Le cannabis est une drogue dissociative, le conducteur ne sait plus par exemple, s’il se trouve sur la voie de droite ou la voie de gauche et à forte dose, le cannabis est hallucinogène.
Depuis 2008, afin d’améliorer la sécurité routière, la police peut réaliser des tests salivaires chez les conducteurs. En cas de conduite avérée sous l’emprise de cannabis, le permis de conduire est annulé ou suspendu. Une visite favorable auprès de la commission médicale des permis de conduire est indispensable pour la restitution du permis de conduire ou pour obtenir l’autorisation de le repasser.

Les tâches cognitives suivantes sont très impactées par la consommation de cannabis et sont altérées proportionnellement à la dose de cannabis consommée :

  • estimation des distances,
  • recherche visuelle
  • perception du danger, prise de risque

Les comportements de conduite suivants sont altérés par la consommation de cannabis :

  • diminution de la stabilité dans les virages, variabilité de la vitesse dans les courbes,
  • augmentation de la distance de freinage, du temps d’arrêt,
  • augmentation des erreurs de position latérale, de la variabilité ou de la déviation de voie,
  • erreurs dans le suivi du compteur de vitesse,
  • comportement de dépassement modifié,
  • heure de démarrage augmentée en réponse au signal lumineux.

L’étude SAM, « Stupéfiants et accidents mortels de la circulation routière « , actualisée en 2015, trouve un sur risque de responsabilité associé au cannabis de l’ordre de 1,8 ( et 14,5 si associé à l’alcool).

Utilisation de tests de dépistage salivaire par la police pour la sécurité routière

La conduite sous l’emprise  de l’alcool et des stupéfiants augmente le risque d’accidents de la route.
Conduire sous l’influence des stupéfiants est un délit selon l’article L235-1 du code de la route.
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La police peut réaliser des tests salivaires chez tout conducteur

Depuis 2008, afin d’améliorer la sécurité routière, la police peut réaliser des tests salivaires chez les conducteurs. Si l’analyse confirme la consommation, l’usage est présumé et l’infraction est constituée.

A noter que ce test de dépistage est obligatoire en cas d’accident mortel ou corporel. Il est également possible en cas d’accident matériel, d’infraction au code de la route ou s’il existe une raison de soupçonner sa consommation ( signes chez le conducteur lors d’un contrôle de routine, par exemple).

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Ces tests de dépistage sont prévus par l’article L 235-2 et L 235-3 du code de la route

Article L.235-2 du code de la route

« Les officiers ou agents de police judiciaire de la gendarmerie ou la police nationales territorialement compétents et, sur l’ordre et sous la responsabilité des officiers de police judiciaire, les agents de police judiciaire adjoints font procéder, sur le conducteur ou l’accompagnateur de l’élève conducteur impliqué dans un accident mortel ou corporel de la circulation, à des épreuves de dépistage en vue d’établir si cette personne conduisait en ayant fait usage de substances ou plantes classées comme stupéfiants.
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Les officiers ou agents de police judiciaire de la gendarmerie ou la police nationales territorialement compétents et, sur l’ordre et sous la responsabilité des officiers de police judiciaire, les agents de police judiciaire adjoints peuvent également faire procéder à ces mêmes épreuves sur tout conducteur ou tout accompagnateur d’élève conducteur qui est impliqué dans un accident matériel de la circulation ou est l’auteur présumé de l’une des infractions au présent code ou à l’encontre duquel il existe une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu’il a fait usage de stupéfiants.
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Les officiers ou agents de police judiciaire de la gendarmerie ou la police nationales territorialement compétents, agissant sur réquisitions du procureur de la République précisant les lieux et dates des opérations et, sur l’ordre et sous la responsabilité de ces officiers de police judiciaire, les agents de police judiciaire adjoints peuvent également, même en l’absence d’accident de la circulation, d’infraction ou de raisons plausibles de soupçonner un usage de stupéfiants, procéder ou faire procéder, sur tout conducteur ou tout accompagnateur d’élève conducteur, à des épreuves de dépistage en vue d’établir si cette personne conduisait en ayant fait usage de substances ou plantes classées comme stupéfiants. Les réquisitions prévues au présent alinéa peuvent être adressées par tout moyen. Si elles sont adressées oralement, il en est fait mention dans le procès-verbal dressé par l’officier ou l’agent de police judiciaire.
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Les officiers ou agents de police judiciaire de la gendarmerie ou de la police nationales territorialement compétents à leur initiative et, sur l’ordre et sous la responsabilité des officiers de police judiciaire, les agents de police judiciaire adjoints, peuvent également, même en l’absence d’accident de la circulation, d’infraction ou de raisons plausibles de soupçonner un usage de stupéfiants, procéder ou faire procéder, sur tout conducteur ou tout accompagnateur d’élève conducteur, à des épreuves de dépistage en vue d’établir si cette personne conduisait en ayant fait usage de substances ou plantes classées comme stupéfiants.
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Si les épreuves de dépistage se révèlent positives ou lorsque le conducteur refuse ou est dans l’impossibilité de les subir, les officiers ou agents de police judiciaire font procéder à des vérifications consistant en des analyses ou examens médicaux, cliniques et biologiques, en vue d’établir si la personne conduisait en ayant fait usage de substances ou plantes classées comme stupéfiants. A cette fin, l’officier ou l’agent de police judiciaire peut requérir un médecin, un interne en médecine, un étudiant en médecine autorisé à exercer la médecine à titre de remplaçant ou un infirmier pour effectuer une prise de sang.
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Lorsque la constatation est faite par un agent de police judiciaire adjoint mentionné aux 1° bis, 1° ter, 1° quater ou 2° de l’article 21 du code de procédure pénale, il rend compte immédiatement de la présomption de l’existence d’un usage de substances ou plantes classées comme stupéfiants ou du refus du conducteur ou de l’accompagnateur de l’élève conducteur de subir les épreuves de dépistage à tout officier de police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale territorialement compétent, qui peut alors lui ordonner sans délai de lui présenter sur-le-champ la personne concernée. »
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Alcool et drogues : techniques de dépistage des conducteurs par les Forces de l’Ordre

 

Modalités de dépistages pour les stupéfiants : nouvel arrêté en 2016

Arrêté du 13 décembre 2016 : il fixe les modalités du dépistage des substances témoignant de l’usage de stupéfiants, et des analyses et examens prévus par le code de la route.

Le recueil salivaire s’effectue dans les conditions prévues dans la notice du test de dépistage utilisé.
Le recueil urinaire s’effectue dans un flacon muni d’un couvercle en assurant l’étanchéité, sans additif, incassable et d’une contenance au moins égale à 100 millilitres.

I. – Le dépistage, à partir d’un recueil salivaire, est réalisé au moyen de tests salivaires respectant les seuils minima de détection suivants :
1° S’agissant des cannabiniques :
– 9-tétrahydrocannabinol (THC) : 15 ng/ml de salive ;

2° S’agissant des amphétaminiques :
– amphétamine : 50 ng/ml de salive ;
– métamphétamine : 50 ng/ml de salive ;
– méthylène dioxymétamphétamine (MDMA) : 50 ng/ml de salive ;

3° S’agissant des cocaïniques :
– cocaïne ou benzoylecgonine : 10 ng/ml de salive ;

4° S’agissant des opiacés :
– morphine : 10 ng/ml de salive ;
– 6 mono acéthylmorphine : 10 ng/ml de salive.

II. – Le dépistage, à partir d’un recueil urinaire, est réalisé au moyen de tests de dépistage respectant les seuils minima de détection suivants :
1° S’agissant des cannabiniques :
– acide carboxylique du tétrahydrocannabinol (9 THCCOOH) : 50 ng/ml d’urine ;

2° S’agissant des amphétaminiques :
– amphétamine : 1 000 ng/ml d’urine ;
– métamphétamine : 1 000 ng/ml d’urine ;
– méthylène dioxymétamphétamine (MDMA) : 1 000 ng/ml d’urine ;

3° S’agissant des cocaïniques :
– cocaïne ou benzoylecgonine : 300 ng/ml d’urine ;

4° S’agissant des opiacés :
– morphine : 300 ng/ml d’urine.

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Techniques de dépistage des conducteurs : stupéfiants

Ce sont désormais les mêmes conditions de dépistage que pour l’alcool, mais lors du contrôle on ne donne pas de taux en bord de route pour les stupéfiants puisque par définition le taux doit être négatif, la consommation de stupéfiants étant purement et simplement interdite en France.

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Dépistage des stupéfiants 

  • soit dépistage salivaire
  • soit dépistage urinaire ( par médecin) :

Le dépistage doit nécessairement être confirmé :

  • soit à partir d’un prélèvement salivaire : c’est ce qui se pratique le plus souvent, le test est envoyé au labo et confirme ou non la présence de stupéfiant.
  • soit à partir prélèvement sanguin ( réalisé par un médecin)

Le contrevenant peut demander une contre-expertise dans le sang : il dispose de 5 jours pour demander cette contre-expertise et donc ce prélèvement sanguin.
Dans le PV judiciaire le toxique en cause est noté.
Cannabis : dans le sang on détecte consommation récente…par contre urine reste positive plus longtemps.

Pour mémoire le dosage du cannabis dans le sang détecte une consommation récente, par contre l’urine reste positive plus longtemps.

Chez un consommateur très régulier de cannabis ( THC) :

  • le THC peut être retrouvé dans le sang jusqu’à 8 jours après avoir cessé toute consommation
  • et le THC peut être retrouvé dans les urines jusqu’à 6 à 8 semaines après avoir cessé toute consommation. 

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Seuils minima de détection que doivent respecter les tests utilisés

Le dépistage, à partir d’un recueil salivaire, est réalisé au moyen de tests salivaires respectant les seuils minima de détection suivants :

  • Cannabiniques :
    • 9-tétrahydrocannabinol (THC) : 15 ng/ml de salive ;
  • Amphétaminiques :
    • amphétamine : 50 ng/ml de salive ;
    • métamphétamine : 50 ng/ml de salive ;
    • méthylène dioxymétamphétamine (MDMA) : 50 ng/ml de salive ;
  • Cocaïniques :
    • cocaïne ou benzoylecgonine : 10 ng/ml de salive ;
  • Opiacés :
    • morphine : 10 ng/ml de salive ;
    • 6 mono acéthylmorphine : 10 ng/ml de salive.

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Le dépistage, à partir d’un recueil urinaire, est réalisé au moyen de tests de dépistage respectant les seuils minima de détection suivants :

  • Cannabiniques :
    • acide carboxylique du tétrahydrocannabinol (9 THCCOOH) : 50 ng/ml d’urine ;
  • Amphétaminiques :
    • amphétamine : 1 000 ng/ml d’urine ;
    • métamphétamine : 1 000 ng/ml d’urine ;
    • méthylène dioxymétamphétamine (MDMA) : 1 000 ng/ml d’urine ;
  • Cocaïniques :
    • cocaïne ou benzoylecgonine : 300 ng/ml d’urine ;
  • Opiacés :
    • morphine : 300 ng/ml d’urine.

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Tableau des durées de positivité de présence des drogues dans l’organisme

Voir le site Drogue-info-services

Tests de dépistage utilisables par les médecins pour mettre en évidence la consommation de cannabis

Le principe actif du cannabis est le  Δ9 tétrahydrocannabinol ou THC qui a des effets sur le système nerveux.  Le THC se stocke dans les graisses et en particulier dans le cerveau à partir duquel il peut y avoir relargage.

Test de dépistage dans l’urine

L’élimination urinaire du métabolite du cannabis l’acide delta9-THC  est lente : durant plusieurs jours à 1 semaine après avoir fumé 1 à 2 joints, mais pendant plusieurs semaines à plusieurs mois en cas de consommation quotidienne de joint.
L’acide Δ9 tétrahydrocannabinol apparaît dans l’urine 1 à 2 heures après une prise.
Dans l’urine le seuil de détection dépend du type de test utilisé.
Tests urinaires pour le dépistage de la consommations de cannabis.

Le test urinaire pourra être positivé par la consommation de cannabis légal ( en effet dans le CBD il y a une très petite quantité de THC).

Test de dépistage dans la salive

La présence d’un composé dans la salive permet de conclure à la présence dans le sang.
Ce sont les molécules mères et non les métabolites qui sont retrouvés dans la salive.
Tests de dépistage salivaire

Test de dépistage dans le sang

La présence de stupéfiants et de ses métabolites dans le sang correspond à une consommation récente
Tests de dépistage pour le cannabis

Test de dépistage dans les cheveux

L’analyse des cheveux permet de retracer l’histoire de l’addiction dans le temps

Pour le dépistage du cannabis il est important de connaître le seuil de positivité ou cut-off de la méthode utilisée par le laboratoire, il faut  tenir compte de la grande rémanence biologiques des cannabinoides due à leur lipophilie ( ils se stockent dans les graisses).

Visite médicale à la commission médicale des permis suite à la conduite sous l’emprise de cannabis

Suivant les cas, le permis de conduire est suspendu ou annulé : une visite médicale à la commission médicale des permis de la préfecture est nécessaire ( la visite médicale ne peut pas être réalisée auprès d’un médecin agréé pour les permis de conduire qui exerce hors commission).
La règlementation prévoit un suivi par la commission médicale des permis de conduire conformément à l’arrêté de mars 2022 :

Permis du groupe léger ( voitures, motos)

Incompatibilité tant qu’existe un état de dépendance ou un trouble de l’usage de substances psychoactives. Recours possible à des examens de biologie médicale spécifiques

Puis compatibilité temporaire d’1 an maximum renouvelable si besoin : les évaluations pour déterminer la compatibilité sont réalisées en commission médicale. La commission prend en compte les éléments cliniques et biologiques et les facteurs sociaux ainsi qu’un avis médical spécialisé si nécessaire. La reprise de la conduite peut être conditionnée à un accompagnement adapté en addictologie. 
Les risques additionnels éventuels liés à l’environnement sont envisagés avec attention

Puis 
Compatibilité définitive  : à l’issue de cette ou de ces périodes lorsqu’elles sont menées avec succès et que le risque de récidive est considéré comme non significatif. Avis médical spécialisé si nécessaire. 

Permis Poids lourd
4.1.2 Consommation régulière ou dépendance aux drogues, mésusage de médicaments

Incompatibilité :
tant qu’existe un état de dépendance ou un trouble de l’usage de substances psychoactives. Recours possible à des examens de biologie médicale spécifiques ;
Puis,

Compatibilités temporaires de 6 mois, pendant 3 ans au moins:
la première évaluation pour déterminer la compatibilité est réalisée en commission médicale.
Celle-ci, comme les évaluations successives, prend en compte les éléments cliniques, biologiques et
sociaux, ainsi qu’un avis médical spécialisé si nécessaire.
La reprise de la conduite peut être conditionnée à un accompagnement adapté en addictologie.

Pour mémoire : un mésusage est une utilisation intentionnelle et inappropriée d’un médicament ou d’un produit, non conforme à l’autorisation de mise sur le marché ou à l’enregistrement ainsi qu’aux recommandations de bonnes pratiques

L’usager bénéficie donc d’un suivi pendant 3 ans par la commission médicale des permis de conduire de la préfecture en cas d’infraction, avec conduite d’un véhicule du groupe lourd, sous l’emprise de stupéfiants.

Les médecins des commissions médicales ont à disposition des tests salivaires qui peuvent être réalisés lors de la visite médicale, ils demandent également des examens complémentaires à réaliser en laboratoire ( test urinaire, test sanguin, voire test sur les cheveux).

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345 Comments
  • Tapalocas
    Répondre
    Posté à 1 h 26 min, 12 avril 2018

    Bonsoir, je passe ma 2eme Visite médicale pour récupérer mon permis définitivement ou pas? ( 1 an après.ma.1ere visite médicale suite aux stupéfiants. Il y a écrit non détecté pour les 2 premiers mais pour le thc cooh il y a 0.58ng. Pensez vous qu’il vont me.declarer inapte? Je ne fume plus mais mon entourage fume… merci d’avance

  • Dylan Buiron
    Répondre
    Posté à 20 h 40 min, 22 mai 2018

    Bonjour, je me suis fait suspendre le permis pour stupéfiants ( cannabis) j’ai passée mes tests dans un laboratoire qui s’avère positif au cannabis, cela fesait 1 mois que je ne fumais plus, mais question est , je peux repasser un test avant d’aller à la préfecture ? ( Même si j’en est déjà fait ) ou alors aller à la préfecture avec mon test comme ça et avoir une chance de le récupérer ?

  • DE PROVENCE
    Répondre
    Posté à 23 h 29 min, 28 mai 2018

    Bonjour voilà ma question je me suis fais suspendre mon permis en février 2016 pour une durée de 6 mois ayant déjà passé 2 visites médicales avec un test urinaire bon. J’ai reçu un document me permettant de conduire pendant 1 ans donc je me suis rendu à la préfecture pour en savoir plus car leur site internet est très mal fait
    et on m’a dit qu’il fallait que je repasse une troisième visite.
    Donc j’aimerai savoir comment se passe cette 3ème visite ?
    Merci d’avance

  • norbert
    Répondre
    Posté à 1 h 00 min, 25 juin 2018

    bonjour
    je me suis fais contrôle positif au stup en mars 2018.
    6mois de retrait par la prefecture , j’attend de passé ou pas au tribunal
    je dois passer une visite medical avnt la fin de ma suspension
    1-Qu’elle test seront effectués ? urine ou sang ou les deux ? et qu’elle marquer ? ( thc + thc cooh )
    2-Combien de temps d’abstinence pour un résulta negatif ?
    je fais 1.91m pour 105kg , fumer quotidien ( 1 a 5 jts ) + tabac en journée ,
    sportif 4h par semaine
    merci pour votre retour

      • norbert
        Répondre
        Posté à 12 h 06 min, 2 juillet 2018

        merci pour votre retour sur le point 1
        pour le point 2 , merci pour votre jugement de valeur , mais cela me regarde 🙂
        ma question étais sur le temps d’abstinence pour un test négatif avec les quelques infos corporels données
        Merci d’avance pour votre réponse plus complète
        bonne journée

  • Fabien
    Répondre
    Posté à 21 h 51 min, 26 juin 2018

    Bonjour docteur
    Voilà il y a plus d’1 an je m’était fait arrêter pour défaut d’assurance. Le gendarme a effectué un test salivaire pour stupéfiant qui c’est révélé négatif, parcontre je leur avait avoué avoir consommer du cannabis 2 jours avant donc dans le procès verbal il est stipulé que j’ai fait usage de produit stupéfiant sur le territoire français. Lors de mon passage au tribunal j’ai eu une suspension de 3 mois du permis. A la visite médical devant la commission ils me demandait un test urinaire pour le thc qui était négatif ducoup permis récupérer pour 1 an. La je dois passer la 2eme visite médical et leur ramener cette fois-ci un test sanguin pour les cdt et un test urinaire pour le thc. Donc ma question est pourquoi un test sanguin pour cdt et à quoi sa correspond ?
    Merci d’avance de votre reponce

  • Posté à 13 h 59 min, 23 juillet 2018

    bonjour j ai pris Rdv pour une visite a la préfecture mais dans la confirmation de RDV il n’a pas d’ordonnance pour un test urinaire dois je le faire de moi meme ou est ce un test salivaire qui m’attend ? svp

  • Benoist
    Répondre
    Posté à 16 h 38 min, 6 août 2018

    Bonjour docteur je me suis fair surprendre mon permi pour 6 moins en août 2017 j’ai paser une premier visite médicale qui était négatif et la j’ai ma deuxième visite mardi 8 août 2018 le texte et positifs car à mon travail mes collègues consorme et je suis à côté qu’en je n’en fume plus est ce que il vont m’en reprendre mon permi ou me laisser encore en provisoire jusqu’à me 3 visite

  • dallaga hugo
    Répondre
    Posté à 13 h 37 min, 10 septembre 2018

    bonjour,concernant une prolongation 2eme visite,doit refaire aussi les test psychotechnique a chaque fois?Merci

  • Alex
    Répondre
    Posté à 16 h 36 min, 25 septembre 2018

    Bonjour j’ai eu une suspension de permis de 6mois pour stupéfiant cela fait trois mois que je ne fume plus donc mon test seras negatif mais dois-je faire un test urinaire ou sanguin avant mon 1er RDV a la préfecture ou alors il me le feront sur place ? ou alors je doit allez chez un medecin avant d’y allez ?

  • tucci
    Répondre
    Posté à 17 h 08 min, 30 septembre 2018

    bonjour jai u un retrait de permis de 3 mois pour avoir fumee du canabise jai passee la visite ressament le medecin ma valider la visite ee ma remis la feuille qui atteste que je peu conduire pour un ans ma question est que doige faire maintenant pour recuperer mon permis merci dans l attente dune reponce

  • Guillaume
    Répondre
    Posté à 19 h 13 min, 4 novembre 2018

    J ai été arrêté pour stupéfiant au volant suspension de 4 mois et à titre de peine complémentaire un stage de sensibilisation aux dangers de l usage de produits stupéfiants. Dois je m attendre à d autre reste comme visite médical? Ou autres.

  • Julien
    Répondre
    Posté à 8 h 10 min, 14 novembre 2018

    Bonjour, quels sont les démarches à faire lors d’une suspension de 6 mois administratif pour consommation de cannabis, et quand les faire ? Merci

  • Alix
    Répondre
    Posté à 15 h 20 min, 19 novembre 2018

    Bonjour , mon conjoint a été contrôlé positifs au canabis, que risque t’il sachant qu’il a un permis belges ? La gendarmerie ont pris sont permis mais lui en ont pas dit plus merci

  • manuel
    Répondre
    Posté à 22 h 43 min, 28 novembre 2018

    Bonjour j’ai fait une demande en ligne pour le permis après une suspension de 6 mois consommation cannabis
    mais elle m’a été refusé pour manque du CDT
    je voulais savoir combien de temps les résultats de l’avis médical et les tests d’urine sont valables ? Merci

  • manuel
    Répondre
    Posté à 22 h 29 min, 1 décembre 2018

    bonsoir je n’ai pas reçu aucune réponse

  • Gaetan
    Répondre
    Posté à 3 h 06 min, 18 janvier 2019

    Bonjour je suis en cours de suspsension de permis et j’avais une question par rapport au CBD est ce grave d’en fumer si les tests ne sont pas encore fait ? car il presente moins de 0.2% de THC est ce que ça rendra mon test positif ?

  • fanellie
    Répondre
    Posté à 22 h 35 min, 6 décembre 2019

    bonjour, je doit faire des analyses d’urines pour recuperer mon permis. je me suis procurer un kit en pharmacie ils mon dit qu’il fallait une ordonnance pour pouvoir effectuer cette analyse. ce n’est pas tres clair tout sa. comment doit je mit prendre?
    merci d’avance pour votre aide.

  • Felix
    Répondre
    Posté à 21 h 24 min, 21 janvier 2020

    Bonjour,

    j’ai une suspension de permis pour 6 mois aprés un test salivaire au cannabis positif.
    ma date de tribunal est le 5 mars . malheureusement les délais sont de 4 mois pour la visite médicale (6 mai).
    dans l’espoir de retrouver mon permis au jugement , il est impossible de récupérer mon permis si je n’ai pas fait ma visite médicale avant (2mois après), avec évidemment des analyses négative au cannabis.
    Que me conseillez vous de faire alors pour le tribunal ? quel test est -il indispensable de faire pour montrer au juge ma bonne foi. dois je passer par mon médecin traitant ou par le labo agrée de la préfecture? est -il possible de faire plusieurs analyse par le labo agrée? sachant que la première utilisée pour le tribunal sera périmée pour la visite médicale.
    merci de votre retour

  • Bonhaure
    Répondre
    Posté à 14 h 21 min, 25 janvier 2020

    Bonjour,
    après un retrait de permis de 3 mois pour usage de stupéfiant (cannabis pour usage occasionnel ), test salivaire. Je viens de rencontrer les médecins à la préfecture , qui mon validé apte temporaire pour une durée de validité limitée à 1 an ,renouvelable pendant trois ans .
    trouvez vous ça normal ?

  • Posté à 23 h 37 min, 9 mars 2020

    Bonjours j’ai une annulation du permis sans suspension j’ai passer mon tests spyco puit je passe la visite medical le 28 mais combien de temp avant puige passer ma prise de sang je compter la passer le 20 mars merci d’avance

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